De nombreux sujets seront abordés et notamment le retour des demandes de bourse (un recensement est actuellement en cours dans chaque promotion pour mesurer concrétement les refus d'obtention de la bourse étudiante). Par ailleurs, ce moment permettra de refaire un point sur ce qui c'est déroulé à la Coordination Nationale de Montrouge tout en relevant les effets pervers que subissent de plein fouet les étudiants sur leur terrain de stage. On compte sur votre présence !
lundi 24 novembre 2008
Post-it
De nombreux sujets seront abordés et notamment le retour des demandes de bourse (un recensement est actuellement en cours dans chaque promotion pour mesurer concrétement les refus d'obtention de la bourse étudiante). Par ailleurs, ce moment permettra de refaire un point sur ce qui c'est déroulé à la Coordination Nationale de Montrouge tout en relevant les effets pervers que subissent de plein fouet les étudiants sur leur terrain de stage. On compte sur votre présence !
samedi 15 novembre 2008
Compte-rendu CN du 7 novembre à Montrouge
Il suffit de cliquer ici
Bonne réception :D
jeudi 6 novembre 2008
Ordre du jour de la CN à Montrouge
ES2 : A ce jour, toute la promotion a un stage.
ES1 et ME1 : Leur stage débutera bien ce lundi 10 novembre malgré un départ différé pour deux étudiants qui sont dans l'attente d'une confirmation de leur terrain.
ASS1 : Malgré leur départ en février c'est le 21 novembre que la clôture des stages doit avoir lieu avec leur responsable de formation. A l'AG du mercredi 5 novembre 39 stages sur 50 ont été trouvés.
EJE1 : Toute la promotion a un stage (Leur stage ne dépassant pas les 3 mois le souci de la gratification ne rentre pas en compte dans la difficulté des recherches de stage).
Un compte-rendu sera mis en ligne sur la recontre qui a eu mardi 4 novembre entre la Direction de l'IRTS, les cadres de formation et les représentants des étudiants. Par ailleurs, une table ronde se déroulera mi-novembre (la date exacte n'est pas encore connue) entre la Direction de l'IRTS, les CG, la DRASS et les représentants étudiants.
Pour finir, je vous laisse découvrir l'ordre du jour de la prochaine CN de demain sur tsfactif.forumpro.fr
lundi 3 novembre 2008
Situation des étudiants et mise en stage
De retour dans un IRTS vide, la semaine dernière n'a pas été de tout repos. Après l'élection des représentants, la situation des ES2 n'avait pas évolué (il manquait encore 2 stages après notre départ le 20 octobre). Les ES et M1 quant à eux, ce sont retrouvés en "vacances forcées", leur départ a été reporté au 10 novembre (1 semaines de vacances rattrapées sur les congés de noël et 1 semaine de cours). A ce jour, il manque encore 6 stages (4ES et 2 ME) et 1 seul et dernier stage dans la promotion ES2 (on pense à toi Fanny pour que tes rendez-vous se concrétisent).
Ainsi, nous avons fait en sorte de ne pas rester les bras croisés. Groupe de travail sur les réflexions à faire remonter en Coordination Nationale du 7 novembre. Groupe "gâteaux et cafés" remis en route pour financer le voyage de nos représentants à Montrouge. Entretien avec M. Trautmann (Directeur générale adjoint de l'IRTS) et plusieurs AG ont ryhmées cette semaine du 20 au 27 octobre.
Seulement voilà, le mouvement ne décolle pas, et malgré la motivation que nous avons c'est ensemble que les choses peuvent avancer que se soit pour stopper les effets pervers de la gratification ou prendre en compte le problème des bourses qui va se faire resentir dans peu de temps. Est-ce là seulement que tous les étudiants vont se fédérer dans un seul et unique combat ? En tout cas, la question de la précarité étudiante des travailleurs sociaux en formation est plus que d'actualité.
A noter qu'une réunion entre la direction de l'IRTS, les cadres de formation et les représentants étudiants se déroulera demain.
Une AG aura donc lieu ce mercredi 5 novembre en amphi à 12h30, venez nombreux !
samedi 18 octobre 2008
Résultat de l'élection des représentants
Les deux représentants élus sur un total de 242 voix sont :
Les deux suppléants élus sont :
Cyril GUILLOT (ASS1)
Tiphaine PIERSON (ES2)
jeudi 16 octobre 2008
Compte-rendu de la coordination nationale du 10 octobre 2008 (Lyon)
1) Présentation de ce qui c’est passé cet été, situation dans les écoles
D’un point de vu général, les statuts de la fédération ont été déposés à Marseille, adresse officiel de l’association. Comment faire pour la facture des petites choses comme l’inscription au JO ? Le Groupe de travail partenariat a continué à travailler avec notamment un listing d’écoles.
Toulouse Albi : Pas d’association pour le moment. Ils ont fait un point en juinpour reprendre par écrit les choses afin de prendre du recul et faire un bilan. Annulation du week-end à Albi. Marion s’est retrouvée un peu seule. Au niveau de la rentrée, les personnes mobilisé se sont retrouvé environ 3 fois… un questionnaire à été fait. Ne peut-on pas le faire à l’échelle nationale pour faire un état des lieux et avoir des chiffres. Bravo. Ils réfléchissent à créer une association qui sera en plus d’Acte(s)-là ! Ilsgardent Acte(s)-là de manière à faire des actions coup de point sans qu’il y ait d’administratif derrière…Par rapport aux bourses, la région à invité desreprésentants à venir discuter des bourses. Les kinés on envoyé un courrier au CG pour que le décret concernant les bourses ne soit pas actualisé cet années. Sinon, le collectif ,constate et s’inquiète du changement des conventions de stages, du changement de la durée des stages, de périodes de vacances qui sautent…Une sensibilisation aux premières années à été faite. Il y a une baisse malgré tout de la mobilisation. Ils attendent le montage de TSF et de leur association pour aller mobiliser les autres personnes…
Poitiers :Bonne mobilisation début juin et petit à petit ça a baissé. A la rentrée pasd’AG car les promos sont en stage. Les premières années ont envie de se bouger. Ils vont faire un point au prochain regroupement. Pour l’instant c’est mort. Voir si c’est possible de transformer l’association localequi sert à faire des fêtes en quelque chose de plus militant pour se rattacher à TSF. Cela sera vu à la prochaine AG si il y en a une !
Etchari (Pays basque): Ils font un point dans pas longtemps car ils sont intéressés.
Perpignan :grosse démobilisation. Association festive en conflit avec mouvement étudiant. Transmission quasi nul aux premières années mais veulent s’investir.
Limoges : démobilisation massive, tiennent absolument à suivre ce qui se passe à TSF(1ères années motivés). Association festive donc problème pour rejoindre TSF maintenant mais à long terme pourquoi pas.
Paris: Ag hier qui s’est bien passé. A fond derrière TSF si c’est une association militante. Instance de veille qui prendune position par rapport aux choses. Montrouge se propose d’organiser la prochaine coordination.
Clermont Ferrand: Pas possible de recevoir la coordination. Il ne se passe rien, les gens sont démobilisés. Stages saucissonnésmais tout le monde s’en fout. Syndicat observe au niveau local TSF. Pas d’association locale mais tient au courant les premièresannées.
Marseille: Ont annulé leur présence au dernier moment. Envoi sur tsf-actif d’un compte rendu des Etats Généraux du Social. Ils sont 3-4 à être très motivés. Ils sont sur les statuts pour une association et une future adhésion à TSF.Bien motivé.Ambiance fort constructive. Sont en « hotline » au téléphone pendant la coordination.
CRAETS, Rhône alpes : (9 écoles): L’été fut un peu mort. Les statuts ont été déposés et l’association créée. Il s’est tenu environ deux Conseils d’Administration depuis septembre. La prochaine AG se tient la semaine prochaine. Les présentations aux premières années sont en partie faites dans les 9 écoles. Ils sont motivés. Le CRAETS est présent pour des réunions à la DRASS, au conseil Régional pour l’attribution du fond d’aide d’urgent. Le fait de s’être monté en association a fait que le collectif est devenu un interlocuteur. On reste vigilant pour ne pas être instrumentalisé par les politiques.Nous avons eu des nouvelles de bien d'autres écoles, au téléphone comme sur TSF actif mais ce serait bien trop long de tout lister...
2) Présentation de la FNEO et du mouvement orthophoniste (par rapport à la gratification)
Mireille, étudiante en orthophonie, est venue nous présenter le mouvement orthophoniste concernant la gratification et leur fédération : la FNEO (fédération nationale des étudiants en orthophonie).
But de cette rencontre : Cette fédération est très bien organisée, elle est jeune (2002) et marche très bien depuis quelques années. Nous cherchons donc ici des conseils pour faire vivre TSF. Nous voulons voir aussi si des ponts sont possibles entre notre mouvement et le leur concernant la gratif.
Organisation de leur fédération : Le bureau est élu en novembre lors du WEIO (sorte de grande AG) par les deux représentants de chaque association locale régional. Les premières années votent tout de suite et adhérent tout de suite en septembre…Le bureau comporte un président et plusieurs vice-présidents qui ont une spécialisation (publication, démographie, internationale,solidarité, recherche et mémoire, représentation, partenariat).Elle fédère les 15 écoles de France d’orthophonie et adhère à la FAGE. Chaque étudiant qui le souhaite paye une cotisation à l’association locale (10 euros environ !!…la dimension "fête" est inscrite dans le prix et ça maaaarche !)). Puis, l’association locale paye une cotisation fixe à la FNEO…Ensuite, La FNEO adhère à l’AFAJE.
Niveau communication : Ils participent à plusieurs journées comme le Téléthon qui sont en lien avec leur formation. Ils y font de la pub.
Un journal est publié régulièrement par la FNEO.
La trésorerie marche grâce aux cotisations et surtout au partenariat.
Partenariat qu’ils font avec des banques, des assurances, des fabricants de matériel orthophoniste. Il serait judicieux de réfléchir avec quels partenaires nous pourrions nous associé sans que nous y perdions notre âmes !
Les partenaires donnent beaucoup de sous et se font de la pub par l’intermédiaire de la fédération. Ceci notamment par l’intermédiaire de packs (avec petit cadeaux à l’intérieur et publicité) donnés aux étudiants.La FNEO nous proposent deux invitations tous frais payés pour venir voir comment sont organisé leurs « AG » (AG WEIO en novembre, ou sont élus les membres du bureau et AG WEFF au printemps ou un bilan est fait). Ceci à Strasbourg.
Conclusion :Il est important de noter que la FNEO représente un seul métier, avec seulement 15 écoles répertoriés et 3000 étudiants. Nous on représentera beaucoup de métiers et beaucoup d’écoles, on est 50 000!!! On est très très ambitieux. On est des fous !!!! Mais bon tout çase construit sur des années…
3) Proposition de construction et de l’organisation dela fédération des TSF
Les présents s’interrogent sur le pouvoir de proposition ou d’action. Il faut avancer mais nous ne voulons pas prendre de décision sans les autres écoles. Ainsi, nous réfléchissons sur le fonctionnement de TSF sans le voter. La construction sera proposée aux écoles à la prochaine coordination.
Développement de la fédération : Le travail de développement d’une fédération nécessite un travail énorme qui ne pourra se faire qu’à partir du moment où les échelons locaux s’investiront et participeront à la vie active de la Fédération. Les personnes présentes s’engagent moralement dans le développement et la promotion de cette Fédération, en créant ou développant leurs associations locales. Pour mieux communiquer sur le fédération et identifier ses futurs acteurs, il est joint au CR un fichier de candidature potentielle à la Fédération TSF. Lesassociations potentiellement candidates peuvent inscrire leur nom sur le fichier et le renvoyer modifié sur l’adresse G mail de la fédération.
Cette année : importance de la création et du développement des associations locales qui permettront d’asseoir la Fédération.
Finances : Le Prix d’adhésion sera fixé librement par lesassos au niveau local (Cf les statuts) et 10 % de ces cotisations locales seront reversées à la Fédération. L’aspect financier n’étant pas prioritaire le montant de la cotisation devra rester bas.
La représentation : L’idée retenue est la suivante. Les membres composants la Coordination Nationale sont des personnes impliquées, portant la parole de leur niveau local et se transforment en membres du Conseil d’Administration (C’est à dire en termes juridiques, ils se transforment enmembres du CA).
Cela ne change pas le fonctionnement actuel en réalité mais petit à petit quand les collectifs auront eu le temps de se monter en association, les membres du CA seront les deux représentants de chaque association locale.
En attente d’une installation pérenne des associations, nous proposons de garder le même principe de vote que lors des différentes coordinations nationales : une voix par école représentée et un vote par personne présente en ce qui concerne les questions de fonctionnement de l’association nationale. Par la suite, il nous semble pertinent d’adopter une représentativité au prorata du nombre d’adhérents.
Qui représente TSF lors des réunions de type STAPRO, CSTS, AFORTS… ? Vu que nous n’avons pas les moyens financiers et que les étudiants sont peu disponibles, nous ne pouvons pas envoyer à chaque fois plusieurs personnes. La représentativité pourrait se faire par un petit groupe deporte-parole qui se passe le relais. Ils seraient élus à la prochaine AG.
Les conventions d’adhésion à tsf : Discussion autour des conventions de fonctionnement. C’est le document administratif qui officialise le partenariat entre les assos locales et la fédération.
Le document proposé aujourd’hui est simple. Il permet de faire fonctionner la Fédération et fixe le fonctionnement entre l’association et la fédération (notamment le partage de BUTS communs).
Le modèle ci-joint est validé et sera envoyé avec les statuts et le compte-rendu.
L’information : Elle est capitale pour développer la fédération. Propositionde créer une plaquette d’information dont la réalisation sera confié à Marseille (très motivé). Le CRAETS pourrait faire passer son modèle de Fly à Marseille. (Pourquoi l’association ? Comment adhérer ? Contacts ? A titre individuel).
Il n’est pas possible d’adhérer au TSF individuellement, seules les associations locales peuvent adhérer. Par conséquent il est pertinent de transmettre ce Fly aux associations locales (Il va falloir les répertoriées).
Voir pour trouver un listing avec les écoles (contacter Pauline), Malgré tout, il existe des écoles qui n’ont pas d’associations.
Comment faire de la communication à ces écoles ? TSF fera jouer le réseau en partant de la base existante.
D’ici là, la plaquette est envoyée d’ici 10 jours aux représentants répertoriées des dernières CN. Et uniquement. En revanche, il sera revalidée cette plaquette au prochain CA des TSF pour un envoi en nombre (professionnels, écoles, médias etc.)
Fonctionnement du CA (ou coordination nationale) :
La FNEO nous a présenté un fonctionnement de Fédération avec des vice-présidents responsables de missions. Trouvant ce dispositifintéressant, nous proposons de l’adapter au TSF. Ils seraient nommés « chargés de missions ».
Bureau, président, trésorier, secrétaire sont présents à titre juridique (nécessaire pour une association). Ils n’ont aucun pouvoir sauf sur décision exceptionnelle du
CA.OBJECTIFS : (avant le mois de Décembre)
*Faire la plaquette TSF (Thomas de Marseille s’engage à finaliser laplaquette de présentation de l’association, éléments à lui transmettre parmail)
*LOGO(qui le fait?) Nous recherchons la jeune fille de Paris qui connaissaitdes contacts dans la création visuelle (présente à la CN de Marseille)
*Envoyer la plaquette à tous ceux quiont été aux coordinations.
*Chacun se charge de toucher les écoles de sa région (ici PACA,Poitou-Charentes,Midi-pyrénées, Rhône-Alpes s’y engagent)
* Par rapport à la boite Gmail :Elodie se charge de relever et répondre aux mails.
* Envoyer quelqu’un au WEIO de la FNEO en novembre à Strasbourg
* STAPRO, Marie de Lille peut se rendrepour le moment à la réunion. La place accordée est une place d’observateur.
* Point Gratification : Création d’un Questionnaire national comme celui proposer par Actes-là ! (finalisé la semaine prochaine par l’AG d’Actes Là !), il sera envoyé sur Gmail et envoyé par Elodie (Poitiers) sur la liste descontacts.
4) Divers AFORTS
Ce contact est utile à partirdu moment où nous connaissons les enjeux, les stratégies, les enjeux de pouvoir de ces réunions. Ce qui est alors important pour l’association, c’est de pouvoir préparer ces réunions et que l’ensemble des adhérents puissent être au courant.
DGAS : Où en est le RDV avec Mme CHAIX ???
Prochaine coordination : Le vendredi 7 NOVEMBRE 2008 A Montrouge (Paris)
Attention : Nous devons faire une demande écrite de la fédération au directeur de l’IRTS Montrouge. Mais c’est bien engagé, notez la date et ce sera confirmé bientôt.
Points à traiter lors de la prochaine Coordination ou CA :
* Faire les dernières modifications sur les statuts s’il y en a et les voter pour cette année.
* Faire un tableau de coordonnées concernant les futurs membres actifs de TSF (à faire remplir et à mettre sur TSF)
* Soumettre les propositions de fonctionnement, en débattre et le voter pour cette année.
Prochain Conseil d’Administration (ou coordination nationale) : Les personnes présentes à la Coordination nationale de Lyon se chargent de mettre au point un ordre du jour et de l’animation.
mercredi 15 octobre 2008
Election des représentants étudiants
La liste des étudiants se présentant est celle-ci :
La clôture des votes se fera le vendredi 17 octobre à 12h. La centralisation et la récupération des bulletins se fera par le délégué ou la déléguée de chaque promotion.
Par ailleurs, un compte-rendu de cette AG sera mis en ligne dans les jours à venir ainsi que celui de la coordination nationale qui a eu lieu à Lyon le vendredi 10 octobre 2008.
mercredi 8 octobre 2008
Coordination Nationale du 10 octobre à Lyon
- Seulement 29 étudiants de la promotion ES1 ont un stage (le départ est prévu le 27 octobre 2008).
- 12 étudiants ES2 sont encore en attente d'un terrain de stage (le départ intinalement prévu le 13 octobre est différé au lundi 20 octobre).
Passons les bonnes nouvelles et intéressons-nous à l'ordre du jour de la prochaine coordination nationale qui se tiendra le vendredi 10 octobre 2008 à Lyon.
PLANNING
8h30 accueil.
Matin
- Présentationdes gens
Après-midi
- Médiatisation de la fédération
vendredi 26 septembre 2008
Automne morose
Le décret n°2008-854 du 27 août 2008 du Ministère de la Santé, de la Jeunesse, des Sports et de la Vie associative relatif aux règles minimales de taux et de barème des bourses sanitaires et sociales, vient de paraître.
Ce décret modifie les conditions de calcul et d'octroi des bourses paramédicales et sociales actuellement en vigueur.Les dossiers de bourses déposés pour l'année scolaire 2008-2009 seront donc instruits selon ces nouvelles modalités.
Désormais l'élève ou l'étudiant est considéré comme indépendant financièrement s'il cumule les trois conditions suivantes :
- Justifier d'une déclaration fiscale différente de celle de ses parents ;
- Disposer d'un revenu personnel correspondant à 50% du SMIC brut annuel, ou d'un revenu par couple au moins égal à 90% du SMIC brut annuel si l'étudiant est marié ou s'il a conclu un PACS, et ceci hors pensions alimentaires versées par les parents ;
- Apporter la preuve d'un domicile distinct de celui de ses parents, attesté au moins par un justificatif de domicile à son nom.
Si tel n'est pas le cas, l'élève ou l'étudiant est considéré comme rattaché fiscalement à ses parents. L'extranet permettant le dépot des demandes de bourse est ouvert jusqu'au 6 octobre 2008.
Pour en savoir plus sur le décret : legifrance.gouv.fr
Vous l'aurez compris, ce qu'on aurait pu considérer de positif avec la gratification des stages n'a aujourd'hui plus de sens avec cette réforme de la bourse. En effet, la précarité étudiante n'est que davantage renforcée.
lundi 4 août 2008
Compte-rendu de la coordination nationale du 28 juin
samedi 19 juillet 2008
Compte-rendu de la table ronde du 8 juillet 2008
Un état des lieux des situations de mise en stage des étudiants a été fait pour les formations ES et ASS de Metz et de Nancy.
Il a été décidé pour les ES de faire un point avec la DRASS, CR, CG par mail sur la promo de ES2 de Metz le 27 septembre 2008, et pour cela en amont envoyer un courrier vers le 15 septembre auprès des étudiants de savoir où en sont exactement les recherches de stages.
Il a été abordé la question d’envisager à moyen terme de réduire (pour le site de Metz uniquement car à Nancy c’est déjà le cas) le stage de 1ère année à 3mois afin de ne pas être « concerné » par les pbs de gratification dès la 1ère année. Mais l’IRTS et les cadres de formations ont mis en évidence l’importance du projet de formation.
La DRASS a expliqué que cela aboutirait à un groupe de réflexion et de travail.
Fabrice et Jennifer ont demandé clairement si il était possible pour les ASS de faire les stages de 1ère 2ème et 3ème année en polyvalence de secteur( au Conseil Général) la DRASS a répondu clairement OUI, car la réglementation ne l’interdisait pas. Mais nous avons insisté sur le fait que cela été difficile à défendre au niveau du projet de l’étudiant lors du DE, il a été clairement dit que cela n’était en tout cas pas interdit.
Nous avons aussi du coup souligné que forcément la question de la gratification réduisait l’offre de formation pour les filières ASS.
A l’issu de ce bilan, nous avons senti nos interlocuteurs plus disposés et motivés que lors des premiers entretiens, avec une réelle volonté de faire pérenniser la situation et de régler les problèmes à long terme. Afin de ne plus rencontrer ces difficultés.
Il a été envisagé de mettre en place une cartographie qui permettrait de « voir » les besoins dans toute la Lorraine. Afin de voir les possibilités d’aide financière pour permettre la mise en stage dans toute la Lorraine, et ce afin de ne pas abandonner un terrain de stage potentiel, dû entre autre à la distance et aux frais engendrés.
Ce groupe de travail, serait constitué de la DRASS, du CR et des 4 CG. Pour la réalisation purement financière il n’y aurait pas d’autres acteurs amenés à intervenir dans l’élaboration de ces modalités.
Le concept global lié au groupe cartographie, permettrait lui par contre de voir d’autres acteurs intervenir tel que l’IRTS et les Représentants des étudiants.
Il a été décidé de reprendre contact la 2ème quinzaine de septembre avec tous les acteurs de cette table ronde.
Fabrice et Jennifer en fonction de leurs disponibilités se rendront à cette table ronde, mi octobre de nouvelles élections auront lieu, afin que de nouveaux représentants puissent agir et intervenir sur la continuité de ce mouvement.
mardi 24 juin 2008
dimanche 22 juin 2008
Retour sur la table ronde du 20 juin 2008
Présents :
- DRASS
- Le Président de l'ALFOREAS
- La Directrice de l'IRTS Lorraine
- 4 représentants étudiants du site de l'IRTS Lorraine (Nancy/Metz)
Compte-rendu de l'AG du 20 juin :
La Direction de l'IRTS refuse de dénoncer auprès de la DRASS les établissements n'accueillant pas ou plus des stagiaires. En effet, les CG et le CR souhaitent avoir une liste précise des institutions n'appliquant pas le décret. A l'heure actuelle, il manque 18 terrains pour les étudiants ESVD2 qui partent en stage le 30 juin 2008. Cette réunion à été néanmooins positive car elle a permis de déboucher sur une autre table ronde ce 8 juillet. Cela, pour ne plus répondre à une situation d'urgence mais bien pour chercher des solutions pérenne.
Ce qui a été envisagé :
- Convention entre les établissements et les organismes financeurs.
A savoir (même si cela n'est pas nouveau), que les stages relevant de la compétence état et de l'assurance maladie sont gratifiés, la situation devrait normalement se débloquer. En conclusion, nos représentants ont senti que une plus grande implication des acteurs, même s'il manque encore des représentants d'employeurs autour de la table.
Une prochaine réunion a donc été fixé au 8 juillet : affaire à suivre.
mardi 17 juin 2008
Compte-rendu de la coordination nationale du 12 et 13 juin à Marseille
I. Point sur la mobilisation et les actions dans chaque région
Il ne s’agit pas ici d’établir une liste exhaustive des actions de chaque école (un site dédié à cela devrait être crée prochainement) ou de retranscrire l’intégralité des propos échangés, mais de faire ressortir l’essentiel des débats et des avancées.Toutes les écoles ou collectifs n’en sont pas au même point quant à la mobilisation.
- des écoles se sont organisées en groupe de travail (comme en Ile de France [IDF]),
a) Point sur les stages
Les difficultés persistent à l’heure de trouver un stage et ce quelque soit les régions. Disparité des positionnements des différents CG.Bilan de l’action poubelle du 10 juin.
b) S’est posée la question du soutien des TSF
Ludivine encoure une peine de 150 euros d’amende (poubelle sur la voie publique), 6 mois d’emprisonnement avec sursis, 7500 euros d’amende pour manifestation non déclarée, 1 an d’emprisonnement et 15000 euros d’amende pour trouble à l’ordre public. Cette action secrète a été votée en CN, mais peu suivie au niveau local.
c) D’où plusieurs questions :
d) Retour des RDV à Paris
- RDV avec le conseiller de X. Bertrand :
e) Leur position :
L'Etat a fait son travail. C’est maintenant aux CG de disposer. Cela nous pose problème car si les TSF se tournent vers les CG, cela risque de les mettre en porte à faux, alors que c’est l’Etat qu’ils visent. Il s’agit plus pour nous de voir les CG comme partenaires car ils sont autant embarrassés que nous par cette disposition. L’Etat ne peut donner de nouvelles missions aux CG sans débloquer des fonds. Il est difficile de demander la modification du décret car il fait partie d’un corpus législatif européen. Il faut faire attention à l’alignement de nos formations sur le modèle européen : risque de disparition des instituts de formation du travail social au détriment des Universités. Ce fut un rendez-vous très décevant. Mais nous ne devons pas perdre pour autant notre motivation et devons continuer nos actions.
II. Retour des votes qui devaient être réalisés suite à la CN de Lyon :
- Quel type de mandat pour les représentants ? :
- Pour ou contre le principe d’une association ?
- L’idée de se réunir en association fait débat :
- Pour ou contre le tract national ?
- Pour ou contre travailler avec les syndicats au sujet de la CC 66 ?
- Pour ou contre la présence des syndicats en CN ?
III. Restitution des groupes de travail
Certains points prévus dans l’Ordre Du Jour n’ont pu être abordés. Des précisions devaient être apportées par la suite en groupe de travail (texte fondateur, statut association, logo, création d’un bureau national, lettre de soutien à Ludivine…)
a) Groupe action
Ce qui a été adopté :
b) Groupe Communication
- Lettre de soutien à Ludivine, pour Ludivine
c) Groupe association
Suite à la rencontre du 13/06 au matin avec un conseiller de la "cité des associations" de Marseille, plusieurs informations ont été apportées :
d) Commission veille sociale
But :
créer un comité de vigilance sociale et juridique. Cette commission serait le chien de garde du mouvement. Nous devons tous rester en alerte durant tout l’été car c’est à cette période que sont adoptées toutes les lois les plus dérangeantes. Comment ?
- Les travaux commenceront pendant les vacances. Une personne par collectif se tiendrait au courant de ce qui se passe. Rechercherait les lois dérangeantes, en en expliquant les enjeux et en le diffusant massivement sur le forum TSF actif (création d’un nouvel onglet). Afin que ce ne soit pas toujours les mêmes, il faudrait organiser un roulement. Mobiliser les personnes qui ont déjà à leur charge ce genre d’opérations.
e) Commission juridique
Il est important d’avoir des informations juridiques sur les manifestations légales et illégales, sur les dangers et peines encourues. De savoir quelles réactions avoir avec la police. Mais aussi des informations permettant de relativiser les faits par des exemples concrets.Qui peut s’en charger, et comment ? Par mail / courrier / forum ?
f) Commission partenariat
- Un outil a été crée à Lyon (tableau de partenaires). Nous devons continuer à le travailler en l’agrémentant des nouveaux questionnements : comment et pourquoi les rejoindre ? Qu’ont-ils à nous apporter ? Quelles sont les éventuelles contreparties qu’ils nous demanderaient ?
IV. Questions restant en suspens et devant être débattues en AG locales, voire votées, avant la prochaine CNA
Voter :
A désigner :
A discuter :
Discussion :
V. Actions et suite du mouvement
La prochaine COORDINATION NATIONALE se tiendra à Paris le samedi 28 juin, Lieu restant à déterminer.
Les prochains rendez-vous :
Propositions d’actions :
dimanche 15 juin 2008
Manifestation nationale : 26 juin 2008 à Paris
A apporter :
- pelotes de laine (pour s'accrocher ; symbole du lien social)
The show must go on
- Comme vous le savez très certainement les étudiants de l'IRTS site du Ban St Martin ont bloqué l'école à partir du 27 mai (cf. article du 28 mai). La rencontre avec les CG et CR ainsi que la Direction n'ayant lieu que le 10 juin nous avons pris la décision de maintenir le blocage des cours jusqu'à la date de cette fameuse table ronde.
- Durant cette période, des groupes de travail ont permis de proposer des menus tous les midis, la mise en place d'un forum-débat avec les professionnels et une exposition de photographies retraçant le mouvement des TSF.
- La dernière semaine a été néanmoins difficile à gérer, en effet la démobilisation a été plus forte et beaucoup de questions sont apparues sur l'intérêt d'un blocage de notre école (est-ce vraiment la cible à viser aujourd'hui ? les étudiants ne perdent-il pas une part non négligeable de leur formation à ne plus suivre les cours ?). Nous avons donc décidé, suite à un vote, de revenir sur le principe d'une grève active dès le vendredi 13 juin. Pour revenir à la table ronde tant attendue du 10 juin ne nous sommes pas confiant pour la suite. En effet, aucune solution dans le temps n'a été trouvé et notamment pour la rentrée en septembre (qui n'est finalement pas si loin que ça). Les CR, les CG, la Direction et les étudiants s'accordent à dire aujourd'hui qu'il faut une aide de l'Etat pour palier aux difficultés des étudiants.
- Notons que depuis la semaine dernière, Julien (coordinateur des groupes) et Fabrice (représentant étudiant) ont pris la décision de s'écarter du mouvement (sans pour autant disparaître de celui-ci). Les AG sont aujourd’hui animés par Jennifer (représente étudiante), Aurélie et Alexia (représentantes "relais" jusqu'à la prochaine élection de septembre).
Ce résumé rapide montre que rien n'est encore gagné. Cependant, nous pouvons nous accorder à dire que depuis le 19 mars les choses ont évolué. Nous avons réussi à garder le mouvement sur les flots depuis plus de 2 mois et cela grâce à la l'implication de chacun. Restons solidaire et ne perdons pas de vue ce pourquoi nous en sommes là aujourd'hui.
mercredi 28 mai 2008
A l'adresse de (...)
La réaction des étudiants de Metz a été sans appel, nous avons voulu, en bloquant l’IRTS alerter les cadres de formations et la Direction que cette situation était inacceptable et discriminante ! Les étudiants ont votés le blocage de l’école jusqu’à la fin de semaine et le blocage des départs en stages si cela doit se faire dans de pareils conditions. Les cadres de formations se sont raliés à notre mouvement et un communiqué de presse est en préparation.
Maintenant et pour finir sur une note un peu plus joyeuse. Je vous laisse apprécier ce texte de Clafanau Vanalgui :D
"C'est l'Etat qui m'a dit" - sur l'air de "Quelqu'un ma dit" de Mme Carla S.
On nous dit qu’nos métiers ne valent pas grand-chose
Et pour nos formations, ça sent pas bon la rose
On nous dit qu’on à l’temps mais demain n’est pas loin
Et que nos actions, ils s’en lavent les mains
C’est l’Etat qui m’a dit, qu’on, serait gratifiés
C’est l’Etat qui m’a dit, qu’l’argent s’rait débloqué
Serait-ce possible alors ?
On voit donc que l’état se bien de nous
Qu’il ne nous donne rien et qu’il nous promet tout
Alors on relève les manches et on est prêt à tout
C’est l’Etat qui m’a dit, qu’on, serait gratifiés
C’est l’Etat qui m’a dit, qu’l’argent s’rait débloqué
Et c'est pour quand alors ?
Mais qui est-ce qui m’a dit qu’on appliquerait le décret
Aussi vite, aussi mal, sans être consultés
Et que cette même moi, ne nous laisse plus le choix
De nous spécialiser pour suivre notre voix
C’est l’Etat qui m’a dit, qu’on, serait gratifiés
C’est l’Etat qui m’a dit, qu’l’argent s’rait débloqué
Et qu'est-ce qu'il font alors ?
Et dans l’public-privé on veut l’égalité
Loin de nous diviser, on reste mobilisés
Plus de sélection en fonction de nos statuts
De vos discriminations on en a plein le cul
C’est l’Etat qui m’a dit, qu’on, serait gratifiés
C’est l’Etat qui m’a dit, qu’l’argent s’rait débloqué
Pensons aux usagers
mardi 27 mai 2008
Compte-rendu du forum-débat de l'IRTS de Metz du 21 mai
- Présentation des représentants
- Pourquoi la mise en place de ce forum-débat
- Retour rapide sur le décret
- Historique du mouvement des étudiants de Metz
- Point sur les coordinations nationales
- Intervention de la Direction de l’IRTS Lorraine
- Débat sur la place des formateurs dans le mouvement
A savoir que d’autres thèmes auraient du être abordés lors de ce forum-débat. Comme par exemple dans quelle direction le mouvement allait s’orienter et concrètement comment nous envisageons l’avenir de notre mouvement étudiant.
a) Le décret du 31 janvier 2008 relatif à la gratification et au suivi des stages en entreprises
A savoir que le décret fait suite à la loi du 31 mars 2006 sur l’égalité des chances. La gratification concerne les travailleurs sociaux en formation prétendant à un diplôme de niveau III (AS, ES, EJE, ETS) relevant donc de l’enseignement supérieur. A première vue, le décret est une avancée pour lutter contre la précarité étudiante. Le problème, c’est que de nombreux effets non souhaités mettent à mal notre qualité de formation :
- Discrimination public/privé
- Le budget des associations pour l’année 2008 est déjà bloqué
- Le rapport stagiaire/employeur
- Discrimination entre les formations
- Questions sur les ASSIDIC (d’un point de vue législatif, la gratification est cumulable au ASSEDIC car il ne s’apparente pas à un salaire. Néanmoins, la réponse n’est pas officiel en sachant que les positionnement entre les régions diffèrent et que la DGAS dit que la gratification ne concerne pas les personnes touchant des ASSIDIC)
b) Historique
- Le 19 mars l’IRTS de Metz est en grève active et se rallie au site de Nancy
- Première manifestation à Nancy le 26 mars avec des étudiants de l’est de la France
- Le 2 avril, manifestation à Metz
- Action positive dans Metz le 10 avril
- Première coordination nationale à Montrouge le 11 avril
- Coordination nationale du 25 avril à Limoges
- Seconde action positive le 30 avril
- Manifestation nationale à Paris le 13 mai
- Coordination nationale de Lille le 14 mai
c) Coordination nationale
L’IRTS Lorraine fait parti du collectif « Grand Est » regroupant 10 écoles. Des revendications communes et au niveau national ont été définies.
- Egalité public/privé
- Elargissement de la gratification à toutes les formations
- Gratification des étudiants ne se basant pas sur leur statut (ASSEDIC ou non)
- La gratification passe par un organisme tiers et non par les centres de formations
L’ensemble de ces revendications restent indissociable les unes des autres. En clair, nous ne nous battons pas seulement pour une gratification mais pour la prise en compte de l’ensemble de ces revendications.
d) Intervention de la Direction
Intervention de Mme Maçon et M. Trautmann, Directrice et Directeur adjoint de l’IRTS Lorraine. J’ai repris les paroles de la Direction sans promettre que les phrases soient exactement identique à ce qui a été dit. Un débat a ensuite eu lieu avec les étudiants. La question de la discrimination suivant les statuts, le départ des stages à n’importe quel prix, le report possible du diplôme ont été les principaux éléments ayant alimenté le débat.
« L’IRTS Lorraine soutient depuis le début le mouvement des étudiants. La mobilisation en lorraine a été importante. Aujourd’hui il y a de petites avancées comme les syndicats de AFOR GNI qui appellent à débloquer des fonds. L’état c’est engagé à gratifier les stages. L public sera également concerné par le décret mais seulement à Partir de 2009. Concernant la question de l’élargissement des gratifications au niveau 4, il n’y a aucune certitude. On affecte les stagiaires promotion par promotion et non d’une manière individuelle. Le mouvement qui c’est mis en place est un mouvement citoyen important basé sur la libre adhésion de chacun. De plus, le mouvement convergent entre les étudiants, les centres de formations et les associations. Par ailleurs, il faut savoir que aucune dérogation ne se fera pas DDASS sur la durée des stages. L’IRTS Lorraine s’engage à ne pas découper les stages.»
Après le départ de M. Trautmann et Mme Maçon les étudiants ont amenés les formateurs présents de l’IRTS à réfléchir dans quelle mesure il est possible pour eux de s’investir dans le mouvement.
dimanche 25 mai 2008
Tournoi de foot à l'IRTS de Metz
mardi 20 mai 2008
Compte-rendu de la coordination nationale du 14 mai à Lille
lundi 19 mai 2008
Infos et échéances à venir
dimanche 18 mai 2008
La matinale de Canal +
Merci Adeline ! tu rocx ^^
Commentaire : "Chronique de Léon le 16 mai 2008 sur la gratification des stages dans les formations en travail social. Félicitations aux étudiantes de Lyon pour ce joli coup !"
dimanche 11 mai 2008
Modalités Paris
Le tarif est de minimum 11 euros à régler avant de monter dans le bus mardi matin.
mardi 6 mai 2008
Un point sur le 13 mai
- Départ 14 heures place d'italie (métro ligne 6).
Thème:
- Travailleurs sociaux en formation en deuil.
Arrivée à la sorbonne :
- Intervention des 3 représentants nationaux des travailleurs sociaux en formation.
Ju.
J'ai trouvé ces informations sur le site tsactifs, le message a été posté ce soir. Voilà pour les dernières news.
Soirée et transport pour Paris !
(dans le cadre du financement du transport pour la manifestation nationale à Paris le 13 mai )
VENEZ NOMBREUX
***
Une autre information importante pour le 13 mai. Vous devez vous inscrire sur l'affiche qui est devant l'entrée de l'IRTS. Il est posssible de venir en bus ou par vos propres moyens en train ou en voiture. L'important est d'avoir le nombre exact d'étudiants pour les éventuelles réductions !
Le bus partira de l'IRTS à 7h du matin le mardi 13 mai pour repartir de Paris le soir même vers 21h30 (les horraires restent à confirmer).
***
Un compte-rendu datant du 5 mai a été fait par Nancy et revient notamment sur l'action du 30 avril. Le lien est par là : Compte-rendu
lundi 5 mai 2008
jeudi 1 mai 2008
Xavier Bertrand répond aux étudiants
PARIS (AFP) - Le ministre du Travail, Xavier Bertrand, a demandé au président de l'Assemblée des départements de France (ADF) de "sensibiliser les présidents de conseils généraux" à la gratification des stages des étudiants en travail social qui ont manifesté mercredi dans plusieurs villes.
Dans une lettre au président de l'Assemblée des départements de France (ADF) datée de mardi et transmise à l'AFP, M. Bertrand reconnaît que l'application de la gratification obligatoire met "une dépense nouvelle à la charge des établissements et services d'accueil".
Il concède également que le déroulement des stages n'est "pas garanti sur l'ensemble du territoire" pour des raisons financières, même si "certains conseils généraux" ont pris les dispositions nécessaires.
Par ailleurs, une circulaire de la Direction Générale de l'Action sociale (DGAS, sous tutelle du ministère du Travail) du 21 avril confirme que l'Etat et l'assurance maladie prendront en charge les dépenses correspondantes pour les établissements et services qu'ils financent.
"Le problème devient crucial, car c'est maintenant que nombre d'entre nous devons trouver nos stages pour valider nos formations. Nous attendons que Xavier Bertrand bouge", a déclaré Charlotte Bottin, la porte-parole des étudiants angevins.
Mercredi à Paris, environ 350 étudiants, selon la police, ont manifesté sous la banderole "l'Etat nous fait marcher, alors les travailleurs sociaux se mettent en marche".
Entre 300 et 400 manifestants ont défilé à Lyon, 250 à Nantes, une centaine à Marseille, Rennes et Angers.
Ils demandent des "garanties" sur le financement de leurs stages par l'Etat ou les collectivités locales et une gratification dans le secteur public.
En tête de la manifestation parisienne et en queue de cortège à Lyon, des étudiants portaient un cercueil censé symboliser "l'enterrement du social par le gouvernement". Une marche de 15 jours et 334 km, partie de Lille et arrivée mercredi à Paris, a mobilisé jusqu'à 50 étudiants.
La lettre de Xavier Bertrand, "c'est simplement des bonnes intentions, sauf que nous, on attend nos stages", s'inquiète Salomon Bissiau, "marcheur" en 2e année d'éducateur-spécialisé à Lille, qui attend depuis deux mois que démarre son stage de fin d'étude de dix mois.
Une manifestation nationale est prévue le 13 mai à Paris."
mardi 29 avril 2008
Deuil national
Une action positive aura lieu demain 30 Avril à Nancy au départ de la place Stanislas regroupant les étudiants de Metz et de Nancy. De plus, d'autres actions, dites de "désobéissance civile" et évidemment NON VIOLENTE ont été voté en AG aujourd'hui.
Donc rendez-vous demain, le départ du cortège funèbre est prévu à 14h.
Info : Nous partirons avec le système du covoiturage, les personnes pouvant se déplacer à Nancy en voiture et ceux qui ne peuvent pas, le point de rendez-vous se tiendra devant l'entrée de l'IRTS de Metz. Notons que les cours auront lieu, en effet, l'IRTS sera ouvert toute la journée de demain.
Et pour conclure : RESTONS MOBILISE !
lundi 28 avril 2008
Compte-rendu de la coordination nationale du 25 avril à Limoges
Soixante-six écoles sont représentées aujourd’hui. Comme il a été décidé et acté à Montrouge, chaque école à une voix, les collectifs qui se sont organisés pour n’envoyer que 2 personnes par région possèdent un nombre de voix égal au nombre d’écoles qu’ils représentent. Il leur est demandé, en vue d’un bon fonctionnement de la prochaine coordination, de venir avec une liste de toutes les écoles qu’ils représentent.Les votes se font au 2/3 contre 1/3.Les votes dont le taux d’abstention est le plus élevés sont revus en AG et remonté aux organisateurs avant qu’ils ne fassent l’ordre du jour. Trois modérateurs se proposent en début de journée (Limoges (2),Poitiers (1)), puis trois autres l’après-midi (Perpignan (1), Talence (1), Toulouse (1))Deux secrétaires (Limoges) tentent de prendre des notes en temps réel.Les tours de parole sont pris par un modérateur.Pour un bon fonctionnement, il a été demandé à chacun qu’à chaque prise de parole il dise qui il est, et s’il parle en son nom ou au nom de son école.
DEBAT ET VOTE DE L’ORDRE DU JOUR
Propositions :
- Avant la définition du rôle des porte-parole nationaux, peut-être serait-il mieux de voir la définition de la coordination.
- Sur tsfactifs.forumpro.fr, on parle des DOM-TOM, qui s’est renseigné dessus? Ne serait-il pas important d’en parler ?
-Dans un premier temps, vote des revendications, pour savoir ou on va, qui on est, et ensuite pouvoir débattre sur les points suivants. Aucune objection.
DEBAT SUR LES REVENDICATIONS
Quatre grands points ressortent de ce débat. Dans la volonté d’être entendu nationalement, nous sommes conscient qu’il nous faut un but commun, et que pour cela nous devons redéfinir clairement nos revendications et nos exigences.Deux écrits nous ont été soumis. Un communiqué de presse, soutenu et voté par le collectif Ile-de-France (cf. annexe I), et un appel de Talence aux travailleurs sociaux en formation, déjà voté et adopté dans plusieurs écoles (cf. annexe II). Ce premier texte est à modifié, compte tenu du fait que tous les constats votés à Montrouge ne sont pas nommés.Quoi qu’il en soit, ces deux propositions se veulent le plus consensuel possible, tentant avant tout de ne pas nous diviser.
OUI/NON : Bien conscients qu’ils nous faut une voix nationale, nous décidons de ne pas axer le débat sur ce point, chaque délégué étant mandaté par son assemblée générale pour porter une parole, et que personne n’en dérogera.Nous avons donc les mêmes exigences, mais nous n’avons pas la même façon de les défendre. Il est tout de même rappelé que le non est aussi un non à la façon dont ce décret nous a été imposé, sans aucune consultation.La non application du décret nous a donc semblé être un consensus envisageable.
GELE DU DECRET : Génération précaire s’est battu deux ans pour obtenir ce décret, qui ne concerne pas uniquement le secteur social. De plus, il descend d’une directive européenne, nous ne souhaitons, et ne sommes pas en mesure de l’abroger.Pourtant, un constat est clair, c’est celui de l’urgence, il nous faut des stages maintenant. Plusieurs hypothèses ont été émises :
-C’est la circulaire qu’il faut geler, mais celle-ci ne fait pas office de loi, elle n’apporte rien au décret
-Le gèle du décret peut passer par un autre décret, qui retire les travailleurs sociaux en formation du premier, ensuite un nouveau décret serait mis en place pour appliquer nos revendications.
Des objections ont été émises :
-Risque de démobilisation des moins engagés dans le mouvement, qui une fois en stage ne nous suivront pas sur nos revendications, qui priment.
-Peur que le gèle n’amène pas à une concertation.
- N’y a-t-il pas une contradiction entre ce gèle et le déblocage de fonds, que nous demandons ? Il s’agit donc d’un débat sur lequel nous nous divisons, alors que nous sommes tous d’accord sur le fait que ce décret, en l’état, ne convient pas aux travailleurs sociaux en formation. De plus, nous ne connaissons pas assez les textes juridiques pour parler d’abrogation, de gèle ou autre modification d‘un texte.Positionnons-nous contre, tout simplement.
A LA PLACE DE LA GRATIFICATION ?
R.M.E., Allocation… quel que soit le terme :
-Il y a une spécificité à notre secteur, c’est pourquoi il serait peut-être intéressant de penser à un salaire social du T.S.F.
-Nous devons tendre vers un revenu étudiant, en gardant l’idée en tête qu’il va falloir que le mouvement soit pérenne.
LA VOLONTE D’UN ORGANISME FINANCEUR INDEPENDANT
Si la formation était financé par l’Etat, quelles en seraient les conditions (années dues…) ?L’OPCA (organismes paritaires collecteurs agréés) et l’ URIOPS (Union régionale interfédérale des œuvres et organismes privés sanitaires et sociaux ) sont des organismes techniques et non politiques, qui pourraient faire office d’organisme tiers. Le CNASEA est déjà créé, et sait gérer toutes ces questions de financement.
PROPOSITIONS DE VOTE
-Ajouter aux constats votés à Montrouge :
-La mise en concurrence accrue entre salariés/stagiaires.
-La création de main d’œuvre bon marché.
Nous exigeons :
- une égalité de traitement,
- une consultation multipartite
- Le déblocage d’une enveloppe spécifique à la gratification des travailleurs sociaux en formation versée par le bais d’un organisme tiers.
-Un statut spécifique de travailleur social en formation.
- Le gèle de la circulaire.
- Le gèle de l’article 6-2 du décret.
Nous proposons :
-Le communiqué de presse écrit et voté par le collectif Ile-de-France.
PROPOSITIONS SOUMISES AU VOTE
Ajout des deux constats nommés plus haut aux constats de Montrouge. Adopté à l’unanimité.
Le communiqué de presse proposé par le collectif Ile-de-France peut-il nous réunir ? Oui, à l’unanimité.
Egalité de traitement pour tous et partout (pour les stagiaires dans le secteur public comme privé, quelque soit le niveau de formation, le statut des étudiants, en métropole et dans les DOM-TOM) quelle que soit la solution apportée.
Pour :56
Non application du décret en l’état dans le secteur social
Pour : 60
Concertation multipartite sur nos revendications :
Pour :63
QUEL(S) OBJECTIF(S)DONNER A UNE COORDINATION NATIONALE ?
Plusieurs positions se sont faites entendre :
- Elle doit rester souveraine et garante de la parole de chaque école.
- Elle n’a aucun pouvoir décisionnel
- Elle est un lieu d’échange sur les actions et sur l’expérience de chacun. Nous n’avons en effet pas le même niveau d’information.
- Cette organisation doit se pérenniser et devenir un support afin d’amener d’autres combats.
-C’est elle qui défini les dates de mobilisations.
-Elle définie également les revendications nationales.
-Se baser sur la lettre de Lille (cf.annexe III).
- A-t-elle un pouvoir décisionnel ou consultatif ?
- Qu’en est-il du mandat des délégués? Est-il impératif ou semi impératif? Il a également été demandé à ce que l’ordre du jour soit posté dès que possible, afin que chaque assemblé générale ai le temps d’en discuter et que les mandats soient donc clairs. Toutes ces propositions et questions devront donc redescendre en assemblée générale, afin qu’à la prochaine coordination nationale nous puissions donner un sens commun à cette organisation.
ROLE DES PORTE-PAROLE NATIONAUX
Bien conscients qu’il nous faut des interlocuteurs nationaux, face aux politiques comme aux médias, nous proposons aux assemblées générales de réfléchir sur ces points :Tout d’abord, seront-ils élus une fois ou réélus à chaque coordination, ou à chaque évènement spécifique, au moment ou nous en avons besoin? Quelque soit le nombre de porte-parole, les coordinations ne doivent pas se suffire d’une vingtaine de personnes, elle doivent rester riche. Quel mandat possèdent-ils (impératif ou non) ? Ensuite, comment les définir? Par région?-L’Ile-de-France compte 52 école, il semble difficile de n’élire que 2 représentants. Si le découpage ce fait ainsi, il leur sera accordé de désigner plus de personnes.
-Cette organisation permet de connaître les gens pour qui l’on vote, constituant un groupe d’une vingtaine de personnes qui peuvent tourner pour les rendez-vous ministériels.
Par compétence ?
-Nommés sur des critères dus à la demande, ils seraient nommés pour des délégation bien particulière, en fonction de leurs expériences ou compétences.Par corps de métier ?
-1 ou 2 représentants par corps de métier. Nous avons dû répondre en urgence à la problématique que nous a soumis la ville de Toulouse. En effet, ayant réussi à obtenir un rendez-vous le mercredi 30 avril avec Roseline BACHELOT, la directrice du conseil régionale de Midi-Pyrénées demande à ce que 3 noms de représentants lui soient donnés avant 12 heure, ce jour (1 représentant de la région, 2 représentants nationaux). Les avis convergeant sur la nécessité de se soumettre à un fonctionnement qui nous est imposé, et par crainte de n’avoir aucune revendication nationale avant le soir, nous avons soumis au vote cette proposition :
La coordination mandate-t-elle des représentants nationaux à ce rendez-vous ?
Pour :13
SUJETS ANNEXES
Un petit paragraphe pour les choses évoquées, mais non débattues réellement, peut-être à débattre dans l’avenir...!
- La reconnaissance d’un niveau licence :
Compte tenu de l’harmonisation des diplôme au niveau européen, notre requête pour une reconnaissance à BAC+3 serait légitime. Si notre diplôme est revalorisé, les grilles de salaires le seront aussi, point d’accroche pour les professionnels.
- Le ralliement au mouvement lycéen :
Il semble prématuré, du fait que nous ne sommes pas encore identifiés. Ne serait-il pas plus important de toucher d’abord les professionnels de terrain., pour se forger une identité ? Nous avons un problème de nombre, nous risquons d’être invisibles avec les lycéens.
- Un statut spécifique :
C‘est bien le fait que nous soyons des travailleurs sociaux en formation qui rend ce décret inapplicable. Il serait donc intéressant de repenser les choses pour aboutir à un statut spécifique de travailleur social en formation.
- Financement du mouvement :
Il est à voir au niveau régional (collectivités territoriales, syndicats…). La proposition de faire une quête pendant les manifestations à émise.
- Solidarité :
Le GNI et l’ AFORTS se sont positionnés ainsi: si 25% de la promotion n’a pas de stage, toute la promotion est mise à mal. Il semble nécessaire de demander à ce que une seule personne suffise à cette solidarité.
- En vrac :
Demander à visionner le recours demander par le GNI et l’AFORTS auprès du conseil d’Etat. Les recours prendront 2 ans, selon le président de l’AFORTSL’article 6 du décret n° 2006-1093 pris pour l'application de l'article 9 de la loi n° 2006-396 du 31 mars 2006 pour l'égalité des chances stipule qu’ « Aucune convention de stage ne peut être conclue pour remplacer un salarié en cas d'absence, de suspension de son contrat de travail ou de licenciement, pour exécuter une tâche régulière correspondant à un poste de travail permanent, pour faire face à un accroissement temporaire de l'activité de l'entreprise, pour occuper un emploi saisonnier.» est en contradiction totale avec le décret qui nous concerne.
Un débat sur la remise en cause de la convention collective 66 semble nécessaire.
ACTIONS ET MOBILISATIONS
Le 30 avril, les Lillois qui sont déjà en marche arrivent sur Paris, nous organiserons donc des actions ou manifestations régionales. Nous nous sommes mis d’accord pour se retrouver devant nos préfectures respectives, habillés de noir, à 14 heure.Trente minutes de parole nous sont consacrées le 13 mai, lors des premières assises du travail social à la Sorbonne.
Trois délégués nationaux ont été mandatés pour porter notre voix :
- Alexia : CERPE AUBERVILLIERS
Ce même jour, nous appelons à une manifestation centralisée sur Paris, à laquelle nous convions les syndicats. Le rendez-vous est donc fixé à 13 heure, place de la Nation. Nous partons à 13h30, pour arriver à la Sorbonne à 17 heure, heure ou notre délégation sera reçue.Un tract pour ce jour a été proposé (annexe IV), puis voté par la coordination.Le 15 mai, chacun est invité à se questionner en local sur un regroupement avec le mouvement lycéen.
Des propositions ont été faite:
-Le noir comme une continuité de nos actions, symbole d’une mort lente du travail social (voté et adopté par la coordination)
-L’occupation, durant une journée, des 22 DRASS de France.
ORGANISATION DE LA PROCHAINE COORDINATION
Elle sera organisée à Lille, le 14 mai à 9h. Des points devront être vus ce jour là :
-Le rôle des porte-parole;
-Le rôle de la coordination.
-Nos exigences quant à une reconnaissance à BAC+3-Nos exigences quant à un statut spécifique de travailleur social en formation
-Discutions sur la problématique des allocations de fin de formation, délivrées par les ASSEDICS-Solidarité à auteur de 0%, à voir ave le GNI et l’AFORTS
-Formalisation du nombre de mandats par collectif.