Voici le compte-rendu de la rencontre entre la Directrice de la DRASS (Direction Régional des Affaires Sanitaires et Sociales) et les étudiants de l'IRTS de Lorraine pour faire un point sur les revendications exprimer par les étudiants suite à l'application du décret du 31 janvier 2008.
Présents : La Directrice de la DRAS et la Secrétaire de Direction ainsi que 7 représentants de l’IRTS Lorraine.
La réunion débute pas un tour de table avant que les étudiants comme à faire un point sur l’organisation du mouvement en cours, à Nancy et à Metz. Ils expliquent que la grève est reconduite quotidiennement et que l’institut de formation les soutient. Ils exposent ensuite leurs inquiétudes quant au bon déroulement de leur formation et leur impossibilité momentanée à trouver des stages suite à la loi relative à la gratification des stagiaires.
Ils énoncent alors leurs quatre revendications ; soit :
- Le déblocage de fonds publics pour permettre l’application de la loi.
- L’extension de la loi à toutes les filières, c'est-à-dire au ME également.
- Le décret devra s’appliquer au secteur public comme au secteur privé.
- La gratification doit se faire par l’intermédiaire du centre de formation de manière à éviter tout amalgame possible entre stagiaire et salarié.
La directrice de la DRASS revient sur les différentes revendications :
Elle explique au préalable qu’elle n’a valeur que de « boîte à lettre » et qu’elle n’est donc pas en mesure d’apporter de réponse mais bien de faire remonter l’information jusqu’au ministre. Concernant le premier point, elle prend note et nous explique donc que notre interlocuteur est l’Etat.
Par rapport aux ME, elle découvre que les étudiants en formation de ME ont 4 mois de stage en première année. Les étudiants aurait donc fait une relecture de la loi car pour elle ce qui prime est la durée de stage et non le niveau du diplôme.
Ainsi, nous apprenons que les ME sont concerné par cette loi. Le fait est qu’au niveau national, les ME n’ont pas un quota de semaine de stage qui, additionnées représentent plus de 3 mois. La durée des stages est déterminée par l’institut de formation. Cette décision se prendra donc en fonction des régions.
Présents : La Directrice de la DRAS et la Secrétaire de Direction ainsi que 7 représentants de l’IRTS Lorraine.
La réunion débute pas un tour de table avant que les étudiants comme à faire un point sur l’organisation du mouvement en cours, à Nancy et à Metz. Ils expliquent que la grève est reconduite quotidiennement et que l’institut de formation les soutient. Ils exposent ensuite leurs inquiétudes quant au bon déroulement de leur formation et leur impossibilité momentanée à trouver des stages suite à la loi relative à la gratification des stagiaires.
Ils énoncent alors leurs quatre revendications ; soit :
- Le déblocage de fonds publics pour permettre l’application de la loi.
- L’extension de la loi à toutes les filières, c'est-à-dire au ME également.
- Le décret devra s’appliquer au secteur public comme au secteur privé.
- La gratification doit se faire par l’intermédiaire du centre de formation de manière à éviter tout amalgame possible entre stagiaire et salarié.
La directrice de la DRASS revient sur les différentes revendications :
Elle explique au préalable qu’elle n’a valeur que de « boîte à lettre » et qu’elle n’est donc pas en mesure d’apporter de réponse mais bien de faire remonter l’information jusqu’au ministre. Concernant le premier point, elle prend note et nous explique donc que notre interlocuteur est l’Etat.
Par rapport aux ME, elle découvre que les étudiants en formation de ME ont 4 mois de stage en première année. Les étudiants aurait donc fait une relecture de la loi car pour elle ce qui prime est la durée de stage et non le niveau du diplôme.
Ainsi, nous apprenons que les ME sont concerné par cette loi. Le fait est qu’au niveau national, les ME n’ont pas un quota de semaine de stage qui, additionnées représentent plus de 3 mois. La durée des stages est déterminée par l’institut de formation. Cette décision se prendra donc en fonction des régions.
Le troisième point est également à traiter avec le ministre. Les étudiants précisent tout de même que les associations se sont senties assimilées au secteur marchand. Enfin, elle trouve le troisième point astucieux car cela décharge les associations. Elle explique qu’elle mènera une enquête auprès des structures pour vérifier qu’elles n’ont effectivement pas les moyens financiers d’accueillir des stagiaires pendant une période de l’année.
Les étudiants répondent qu’ils lui feront parvenir des courriers d’associations exprimant leur incapacité à les accueillir en l’état actuel des choses, pour faute de moyens financiers. Elle accepte et reste dans l’attente de preuves. Les étudiants insistent sur le caractère urgent des modifications à apporter à cette loi car les prochains stagiaires devraient commencer leurs stages en juin.
La discussion se clôture juste après que la directrice nous certifie que les étudiants ne subiront pas les conséquences de cette loi.
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Merci Alexia pour ce compte-rendu !
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